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Le marché florissant des biens virtuels : Comment la technologie et le virtuel peuvent rapporter de l'argent

Le marché florissant des biens virtuels : Comment la technologie et le virtuel peuvent rapporter de l'argent
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Avoir un site Internet qui rapporte ? Vous n'y avez jamais cru ? Et bien selon cet article du monde, qui va bien au-delà des incrédulités soulevées auprès des étérnels dubitatifs, la technologie et le virtuel peuvent faire monnaie sonnante et rébuchante.

"Avatars des mondes numériques ou objets en 3D pour agrémenter l'intérieur d'une villa imaginaire… Les biens virtuels se déclinent désormais de toutes les manières et sur toutes les plates-formes de jeu en ligne. "Nous estimons que le marché de ces biens s'élève à 1 milliard de dollars (678 millions d'euros) aux USA et nous pensons qu'en 2010, il atteindra 1,6 milliard de dollars (1,1 milliard d'euros)", explique au Monde.fr Justin Smith, coauteur de l'étude Inside Virtual Goods.

En asie, le marché oscille déjà en 2009 entre 5 et 7 milliards de dollars (3,4 et 4,7 milliards d'euros). Pionnière, l'Asie propose depuis la fin des années 1990 des jeux "free to play", dont l'accès est gratuit, mais avec des contenus d'agrément payants. Sorti en 2002, le jeu de rôle en ligne Maple Story, du sud-coréen Nexon, a été l'un des premiers à rencontrer le succès. L'industrie du jeu s'est toutefois montrée sceptique sur la capacité à exporter ce modèle dans les pays occidentaux.

D'abord uniquement présents dans les jeux en ligne massivement multijoueurs, puis dans les univers de synthèse, tels que Second Life, les biens virtuels prospèrent aujourd'hui sur tous les continents et touchent un public plus vaste et plus féminin. "Les objets virtuels continuent de croître dans les mondes virtuels, mais ils le font encore plus rapidement dans les réseaux sociaux. Facebook, par exemple, a créé un environnement sain pour les développeurs, qui peuvent créer des applications pour les 300 millions d'usagers du site", poursuit Justin Smith, estimant que le marché sur Twitter demeure encore marginal. "

 

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