L’application mobile Netflix se refait une beauté

Un vent d’air frais souffle sur Netflix depuis peu, et pour cause, le site de streaming préféré des jeunes comme des adultes se refait une beauté ! En effet, le service de films et séries en flux continu ne cesse de s’améliorer pour le plus grand bonheur de ses abonnés. Et il a bien raison puisque 7,4 millions de nouveaux binge-watcheurs viennent s’ajouter à son total au premier trimestre 2018. Aujourd’hui, Netflix continue de nous épater avec des performances toujours plus impressionnantes à chaque trimestre,comptant désormais 125 millions d’abonnés à son palmarès.

Mais quels sont ses secrets pour réussir à conquérir le cœur de nouveaux adeptes à travers le monde entier ?

Netflix prend soin de ses utilisateurs

La réponse est simple : Netflix se soucie simplement du bien-être de ses abonnés afin de leur faire passer un bon moment de détente lorsqu’ils regardent un film ou bien une série sur leur plateforme. De plus, le service fait en sorte de vous proposer de nouveaux contenus qui correspondent parfaitement à ce que vous vouliez, en se basant sur vos précédents visionnages. Enfin, la plateforme incontournable de streaming n’hésite pas à s’assurer que ses abonnés n’ont aucune difficulté pour utiliser son service, que cela soit sur télé, ordinateur ou bien par l’application mobile. Et justement, c’est de cette dernière dont il est question.

En effet, si l’application mobile accueillait il y a quelques temps des teasers de nouvelles séries sous forme de stories Instagram, afin de nous attirer vers les nouveaux programmes signés Netflix, force était de constater que la plateforme rencontrait un petit hic. Et c’est du visionnage de contenu sur son smartphone dont il est question.

Alors oui, il est vrai que Netflix fait tout son possible pour se rapprocher de ses abonnés et n’hésite pas à modifier ses algorithmes pour conserver le confort adoré de ses utilisateurs. Pourtant, il semblerait bien que le service de films et de série n’ait pas pensé aux gros doigts. Oui oui, Netflix n’a en aucun cas pensé à ses abonnés aux gros doigts, regardant les derniers épisodes de la saison 2 de Stranger Things sur smartphone. Et si la plateforme y avait pensé, elle aurait tout de suite remarqué que le bouton Play/Pause ainsi que celui de l’avance rapide étaient bien trop petits et coincés dans l’angle inférieur gauche de l’écran. Comment ont-ils fait pour remédier à ce problème ?

Qu’est-ce qui a changé sur l’appli mobile de Netflix ?

Dès lors sa prise de conscience, l’entreprise californienne a tout de suite pris des mesures adéquates pour régler ce problème. Et pour cause : elle a complètement modifié son interface sur mobile.

Désormais, les boutons Épisodes, Audio et Sous-titres ainsi que qu’un nouveau bouton Episode suivant trouvent leur place au centre du bas de l’écran. Plus besoin désormais à la liste d’épisodes pour choisir le numéro suivant.

De plus, les nouveaux boutons Revenir 10 secondes en arrière et Aller 10 seconde en avant viennent remplacer celui de Revenir 30 seconde en arrière, permettant aux abonnés de ne pas se spoiler trop rapidement lorsqu’ils appuient malencontreusement sur le bouton d’avance rapide. Bien vu Netflix ! On note également que ces nouvelles possibilités quittent leur place en bas à gauche de l’écran pour venir s’installer confortablement au centre. D’ailleurs, ces deux nouveaux boutons viennent également encadrer Play/Pause qui se trouvait lui aussi en bas, dans un coin de l’écran bien trop petit et ennuyeux pour l’utilisateur mordu par son épisode qu’il ne veut pas quitter.

A noter également que les boutons d’avance rapide ou de retour en arrière s’utilisent en tapant sur la gauche ou sur la droite de l’écran. De plus, ils ne sont pas modifiables : vous ne pourrez pas changer le temps d’avance rapide en 40 secondes.

Une chose est sûre : Netflix, très à l’écoute de ses fidèles abonnés, continuera de tout mettre en oœuvre pour leur permettre de passer un moment agréable et modifiera ses algorithmes pour que l’utilisation soit la plus simple possible.

Article de Clélia Ripoll